Stableford:
Didier 4
PhA 1
Stroke :
Didier +24 (60)
PhA +37 (73)
Didier +19 (55)
PhA +26 (62)
Putt :
Didier 0 (18)
Pha +3 (21)
Didier 0 (18)
PhA +3 (21)
En match-play : Didier 15 à 5.
LES LECONS DU PARCOURS:
" Il faudra se souvenir d'abord qu'à cette époque, je étais en conflit avec mon dos. Ce jour-là, cela allait mieux, heureusement, car les inclinaisons du parcours ne sont pas pour soulager mes lombaires.
Et pourtant, le premier départ va être le meilleur premier trou que je n'ai jamais disputé. De son côté, Didier va perdre une balle dès le premier lancer, attiré par les arbres. Jévolue alors sur la distance qui nous sépare du green dans la plus grande sérénité. Malheureusement, l'inégale lenteur des greens va abaisser mes scores au putting. Ce premier trou ne fera pas exception.
Je vais aujourd'hui dans ce compartiment de jeu, accumuler des coups en plus. Je vais terminer la journée sur +6 (+3 et +3). Et c'est bien dommage.
Le parcours est magnifique, très accidenté et donc très dur. Il est couronné par un fabuleux dix huitième trou.
Avec Didier, l'année passée nous nous étions arrêtés à neuf trous. Cette fois-ci, nous avions décidé de 9 trous le matin, resto, et 9 trous l'après-midi. Cerise sur le gâteau, nous avions en prime un second trous n°11, particularité de l'établissement. Le total était donc de 19 trous à effectuer par une journée caniculaire. Catherine et Papy nous accompagnaient en voiturette sur laquelle nous avons disposé nos sacs. Nous n'avons pas été bousculé par d'autres groupes. La canicule en week-end du 15 août avait plutôt attiré les parisien vers la plage. Nous navons croisé personne. Les rares autres joueurs apparaissaient loin à l'horizon du fabuleux décor.
Le plaisir de vivre l'instant présent et la stratégie de la cible comme objectif, ont confirmé ma bonne impression d'avoir passé un palier sur un parcours. Pas d'énervement, seulement un mécontentement sur le trou 17, où deux fois de suite, la balle va rebondir sur un chemin pour s'engouffrer dans les taillis.
Les frappes en pente sont les principales difficultés à résoudre sur ce parcours. À l'issue des trous 2 et 3 négociés en 9 et 12 coups, je décide d'abandonner provisoirement l'hybride que je ne sens pas aujourd'hui. Jadopte alors le fer 7 pour le reste de la journée. Au final, mes choix de clubs seront : driver, fer 7, pitch et putter. De plus, je suis super satisfait de mon unique sortie de bunker sur le très compliqué 18. En déséquilibre, l'exécution se concluera par un dépôt de la balle sur le green. Mais, malheureusement, je vais perdre un coup au putt, comme symbole de mon point faible de la journée."
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